Black City Tour (2013-2014)

Reportage de Jessica, concert de Nantes 2, le 24 octobre 2013

Un rêve Indochinois...

10h, je me lève après le super concert du 23 octobre, la veille, avec de la magie plein les yeux. Je regarde très souvent les actualités du groupe sur Facebook, notamment les photos et je constate qu’il refont une sélection d’Indo Reporters pour le second concert qui se déroule ce soir. Je décide donc de renouveler mon inscription sans trop d’espoirs.

13h22, appel privé, mon coeur s’emballe et je tente de respirer avant de décrocher. Antony se présente comme membre de l’Indo crew et m’annonce que ma sélection doit être validée avec quelques questions… Moment de panique car celui qui connaît tout d’Indochine est l’homme que j’aime et qui m’a fait connaître le groupe.

Première question :
 » Tu as bien 20 ans ? » « Oui »
 » Tu as ta carte d’identité sur toi ? « , réponse « Oui ».
 » Tu as ta place pour ce soir ? » « Oui »
 » Tu es libre à partir de 16h pour nous rejoindre au Zénith ? » « Oui »

 » Très bien, ta demande est validée pour accéder aux backstages et voir le groupe, je te rappelle dès qu’on arrive au Zénith ! »

Moment de raccrocher et là… La maison a tremblé de mon cri de joie et ma mère s’est demandé ce qu’il pouvait bien m’arriver !

Puis viens le moment de panique, recharger l’appareil photo, prévenir les amis et celui que j’aime, je réalisais son rêve et j’étais prête à lui donner ma place si cela était possible mais il m’a répondu  » Fonce, ça n’arrive qu’une seule fois dans ta vie !  » Moment de retrouver ses esprits, recharger le téléphone, préparer les t-shirts pour faire signer les autographes et vient le moment de se rendre au Zénith en écoutant Black City Parade à fond dans la voiture.

16h30, on rentre, moi et Anthony, le deuxième sélectionné, avec Antony notre « guide » pour la journée. Puis coup de pression quand on entend une première percussion. Antony nous emmène donc rapidement dans la salle pour écouter les balances du groupe. Grand coup de frissons dans cette immense salle où nous sommes peu nombreux devant eux ! Moment magique, on n’ose même pas cligner des yeux de peur que ce soit un rêve.

16h30, on rentre, moi et Anthony, le deuxième sélectionné, avec Antony notre « guide » pour la journée. Puis coup de pression quand on entend une première percussion. Antony nous emmène donc rapidement dans la salle pour écouter les balances du groupe. Grand coup de frissons dans cette immense salle où nous sommes peu nombreux devant eux ! Moment magique, on n’ose même pas cligner des yeux de peur que ce soit un rêve.

Nicola n’était malheureusement pas présent. Le groupe a joué plusieurs morceaux pour pouvoir les perfectionner. On les entendait parler, rire et se moquer entre eux.

Puis viens la fin des balances, et l’heure de les rencontrer. D’abord Oli et Marco dans les couloirs.

Puis Shoes derrière la scène, et Nicola, nous nous sommes installés au  » Catering » (salle de restauration), il était peu disponible car la presse était là.

Et enfin Matu nous a accueilli près du Merchandising en nous souhaitant un très bon concert ! Nous n’avons malheureusement pas eu l’occasion de rencontrer Boris, mais nous avons pris des photos avec chacun d’eux et nous avons reçu leurs autographes.

Ils sont si familiers quand on est à côté.

Ensuite nous avons vu les différentes équipes techniques, les 12 bus nécessaires pour monter la scène en 9h de temps et les répétitions des effets lors du concert. Comme le serpent ou les rideaux qui ont un rendu magnifique !

18h30 : l’heure de choisir sa place pour le concert est arrivée. Nous avions l’embarras du choix ! Et la sécurité a annoncé l’ouverture des portes dans 3 min… C’était la fin du privilège. Et quel privilège ! Quand je regardais les photos prises assise sur mon siège avant le début de la première partie du groupe Klink Clock, je réalisais ce que je venais de vivre…

Extinction des lumières, applaudissement des artistes, début du concert… Suite du rêve Indochinois.

Je tiens à remercier le groupe pour sa disponibilité et Antony pour sa générosité. C’est une grande famille dont les fans font partie. Je remercie également Ludwig, l’homme qui m’a fait connaître ce putain de groupe et dont j’aurais aimé lui céder ma place par amour.

PS : Je n’ai pas manqué de dire à Nicola qu’on les voulait centenaires !

Jessica

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