Reportage de Nicolas, concert de Bruxelles, le 01 avril 2025
Mardi 1er avril, 11h57...
Bonjour, je suis Antony et je travaille pour Indochine.
Waouh… Mon cœur s’emballe, mes jambes tremblant, mes yeux s’embuent… Je suis IndoReporter et j’en suis convaincu, cette journée va marquer ma vie pour toujours.
3H30 d’excitation plus tard, les présentations faites et un petit sprint dans les méandres de l’ING Arena, je pénètre dans cette salle vide pour le soundcheck… Les riffs de guitares s’enchaînent, les décibels explosent et je réalise, je suis seul dans l’ING Arena, les pieds au bord de la scène et le groupe est devant moi pour les répétitions.
Les couplets s’enchaînent, je chante à tue-tête, sous les yeux de Nicola qui me fixe. Je ne peux m’empêcher de sourire et de rigoler. Les répétitions se poursuivent, je n’en perds pas une miette et à la descente de scène, des premiers échanges avec les boys… Cette journée est incroyable.
L’après midi se poursuit avec Antony. Nous visitons les backstage où les instruments et toute l’incroyable machinerie de ce spectaculaire Arena Tour sont soigneusement rangés et préparés.
La visite des loges, des coulisses, du Merchandising, de la scène s’enchaînent et, lors de toutes ces incroyables visites, quelque chose de très fort se dégage : la bonne humeur et les bonnes ondes ont envahi l’Arena. Les techniciens sont en forment, blaguent, se checkent, et semblent heureux de nous voir avec des étoiles plein les yeux. Indochine est une grande famille où le respect, l’humanité, l’humilité, la passion et la générosité sont les liens qui les unissent.
Après ces 3 heures de bonheur, j’ai la chance de pouvoir m’installer dans la fosse avec ma compagne 15 minutes avant l’entrée du public. Ce concert s’annonce mémorable. Être IndoReporter, c’est également des rencontres. Les gens à mes côtés, auxquels je raconte le conte de fée que je viens de vivre, sont tout autant émus que moi. A l’image du groupe et des techniciens, l’IndoArmy est aussi une famille.
20h20… La rencontre
Du plus profond de mon être, j’espère que chacun puisse, à un moment ou un autre, vivre un moment d’une telle intensité. Les boys sont d’une gentillesse et d’une disponibilité qui n’ont d’égale que leurs talents. Accolades, séance selfie et dédicaces terminées, c’est l’heure de monter en scène avec un dernier check avant de faire exploser l’Arena.
Le cri des 13.000 spectateurs ne laissent aucun doute : Bruxelles, it’s Showtime baby. Ce premier concert Bruxellois démarre et cela ne fait aucun doute, c’est l’Amour Fou. Les titres s’enchaînent, les boys sont au top et en totale communion avec le public.
L’électrisant Un Eté Français débute et le public, à l’unisson, entament ces paroles qui sont d’actualité Vous méritez votre place au soleil mais ici, tout le monde a encore besoin de vous. Une fois de plus, Indochine nous décroche la lune et ce concert est mémorable.
Petit set acoustique avec le puissant Kao Bang, suivi du très émouvant Tes Yeux Noirs avant de boucler sur un morceau spécial et cher à Nicola mais ça, c’était juste entre vous et nous… La setlist défile jusqu’à l’intro de L’Aventurier et nos samouraïs du soleil font une nouvelle fois exploser la Belgique.
Nul ne peut en douter et ce soir plus que jamais, nos 5 boys sont les rois de la Terre. Tel le titre évocateur de la dernière chanson, En Route vers le Futur, nous sommes prêts pour la prochaine fois. La seule histoire sans fin dont nous ne sommes pas las, c’est la vôtre, c’est la nôtre.
Nicola le dit régulièrement sans vous, nous ne sommes pas grand chose. Monsieur Sirkis, sans vous, nous ne sommes rien.
Que retenir de ces souvenirs indélébiles ? Indochine est une famille, de l’intérieur comme de l’extérieur. Les boys sont des artistes qui ont compris que la musique n’était pas que du divertissement, c’est avant tout de la culture. L’univers Indo nous invite à découvrir Patti Smith, The Clash, Henry Darger, Erwin Olaf…
Merci à Antony pour sa gentillesse, sa disponibilité et sa bonne humeur. Merci au groupe pour votre humanité, pour votre talent, pour votre générosité, pour votre talent.
Indochine, ça ne s’explique pas, ça se vit. A la vie, à la mort.
Nicolas