Meteor Tour (2009)

Reportage de Nathalie, concert de Marseille, le 13 novembre 2009

Le vendredi 13 a effectivement été un jour particulier

A 10 ans, en 1985, ils étaient déjà au dessus de mon lit, ces fameux IndoBoys, mais même dans mes rêves les plus fous je n’aurais jamais imaginé cette surprise en 2009.

Quand Alain nous appelle à 11 heures, alors qu’on est en plein travail, on se dit que ce n’est pas possible, et les heures qui suivent on reste déconnectée de la réalité.

Tout commence à 16h30 devant le Dôme. On vient nous chercher, devant une foule de fans très envieux, et c’est partit pour la visite de la deuxième face de la tournée.

Dans le hall, les ventes de T-shirts et autres souvenirs se mettent en place, les sandwichs se fabriquent, et tout est calme pour l’instant.

Dans la salle, c’est une petite fourmilière où chacun est afféré à sa tache. A cette heure ci, la structure est mise en place depuis le matin, c’est l’heure des réglages sons et lumières.

Alain nous explique les différents postes de travail.

A côté de la scène, on aperçoit une petite loge, pour les divers strip-teases de Nicola…

Juste à côté, la personne qui fait les réglages guitare.

Puis nous montons sur la scène, ce sont nos minutes de gloire… devant une salle vide…

Déjà les p’tits copains sont là.

Et la visite continue, par le catering et le bus d’où le groupe vient de descendre. Et durant tous ces moments, Alain prend le temps de nous expliquer tous les détails de l’organisation.

Une tournée ne se résume pas au concert, c’est un travail à toute heure où chacun a une tache très importante. Le seul moment de répit pour l’équipe logistique, c’est finalement quand les acteurs principaux sont au travail.

Juste le temps de s’installer dans la fosse et la foule fait son entrée dans la salle.

A 19h30 arrive le groupe Glow.

Puis 20h30, nous entendons les premières voix derrière le rideau : les essais micros sûrement.

La musique commence avant que le rideau se lève… puis le rideau se lève ! Et là, je laisse à chacun la possibilité d’imaginer ou d’interpréter « son » concert.

Pour ma part, c’était un moment magique comme toujours. Un moment de professionnalisme musical et de fantaisie de la part de chacun qui fait tout le charme d’un spectacle de cette dimension.

Les concerts d’Indochine se suivent mais ne prennent pas une ride et ne perdent pas en qualité. Toujours différents, mais toujours cette constance de l’énergie.

Les 2h30 passent très vite. Le public aimerait que cela ne s’arrête pas.

Mais toutes les bonnes choses ont une fin et c’est pour nous l’heure de partager l’aftershow avec le groupe.

Le public vient à peine de sortir que l’équipe technique commence déjà le démontage et le rangement. Plusieurs camions sont à remplir, afin de reprendre sur le champ la route pour la prochaine date.

Nous allons alors dans le catering pour rencontrer de plus près ceux qui ont été l’objet de notre rêve. Mais Nicola est déjà parti.

C’est l’heure des photos et des échanges. Nous sommes obligés de constater la disponibilité, la simplicité et la générosité des membres du groupe. Alain est toujours là pour nous en dire d’avantage.

Merci à tous pour cette journée inoubliable. Merci pour l’accueil de toute l’équipe. Moi je dirai que ce n’est pas seulement un putain de public, mais aussi un putain de groupe !

Nathalie

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