Reportage de Fanny et David, concert secret à L’Orangerie du Botanique (Bruxelles), le 17 décembre 2005
600 privilégiés
En ce 17 décembre 2005, nous sommes 600 privilégiés qui pouvons réveillonner avec une semaine d’avance, pas pour attendre le père noël mais pour retrouver Nicola et ses indoboys. A 18 heures, une bonne centaine de personnes sont déja là et les discussions fusent : vont-ils jouer d’anciennes chansons ? L’album marchera-t-il aussi bien que Paradize ? Ou encore :qui s’occupera des synthés… ?
19 heures, les premières portes d’Alice & June s’ouvrent mais il faudra encore un peu de patience car un grand rideau avec leur nouveau logo laisse un petit suspense sur leur arrivée. En attendant, le public commence à se manifester et l’on entend les premiers Indochine, Indochine…
Après le compte à rebours, 20h10, le rideau tombe enfin mais toujours personne sur la scène, juste un merveilleux décor selon les idéaux d’Alice & June, s’en suit directement l’arrivée du groupe pour 1h30 d’un concert qui répondra alors à une partie de nos nombreuses interrogations. Nicola n’a pas menti, les chansons que nous pouvons entendre sont belles et bien violemment romantiques et joyeusement pornographiques.
De June à Gang Bang, en passant par Belle & Sebastiane et Pink Water III (où l’on peut apercevoir Brian Molko sur fond d’écran), on découvre petit à petit l’univers d’Alice & June.
Ce même écran nous permettra également de visionner plusieurs images associées à d’autres chansons. Pour clôturer le concert, le groupe nous joue le légendaire Punishment Park et nous rappelle le beau souvenir de Paradize, avec Punker et Marilyn qui referment provisoirement le rideau sur les mystères d’Alice & June…
Fanny et David
